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jeudi 22 octobre 2009

Avraham, celui qui ne devait pas avoir d'histoire...

La Tora nous donne la lignée des enfants de Shem. Un seul fils représente chaque génération. Mais en arrivant à la dixieme génération depuis Noah,la thora nous présente cette fois les trois enfants de Terah : Avram, Nahor et Haran. Nous ne pouvons donc pas deviner qui remplacera Therah et viendra a la suite de Shem, Noah et Adam.
Cependant puisque Avram est marié avec une femme sterile,puisque que Naror ne suit pas sa famille jusqu'à Raran celui qui semble être désigné pour poursuivre la lignée de Shem est Loth. C’est la raison pour la quelle ont peut dire que lorsque Hashem va parler à Avram ,rien ne nous y prépare. Nous ne connaissons aucune des qualités de cet hommme et il devrait normalement ne pas avoir d’histoire. Or,c’est lui qu’Hashem choisit pour débuter l’histoire d’Israël et changer la grande histoire du monde...

Ni Maboul ni Babel !

La sidra de Noah nous relate deux grands événements : Le déluge et la tour de Babel. La Tora n'est pas un livre d'histoire mais un livre de lois. Elle ne tient donc pas à nous raconter toute l'histoire de l'humanité. Les épisodes rapportés nous servent à comprendre le but de la Tora : enseigner des lois au peuple d'Israël et lui indiquer le chemin qu'il doit prendre dans l'Histoire auprès de toutes les nations. C'est donc dans cette optique que nous devons comprendre les deux grands événements qui marquent l'histoire de l'Humanité avant l'arrivée de notre ancêtre Avraham et son alliance avec l'E-ternel .

Commençons par le récit du maboul, le déluge. Par discrétion et par pudeur, la Tora ne dit rien des peurs et des souffrances des êtres vivants qu'Hashem avait créés. Notre livre saint ne dépeint pas le spectacle du cataclysme, comme le ferait un historien ou un journaliste. Un silence recouvre l'abîme. Mais à l'inverse, le texte relatant la construction de la téva et le déluge est très long et abondamment détaillé. Nous connaissons les mesures exactes de la Téva et les matières utilisées, le nombre d’animaux par espèces, le temps de pluie puis le temps de stagnation et celui de descente des eaux ainsi que les périodes ou Noah envoie le corbeau et la colombe. Nous savons même l’altitude exacte de la téva au dessus des montagnes.

Par le style descriptif qu'elle utilise, il apparait évident que la Tora renvoie à deux autres textes importants : La Création du monde et surtout la construction du mishkan, le Sanctuaire érigé par les hébreux dans le désert. Nous retrouvons dans ces trois textes, un grand nombre de détails, de matières et de mesures, le cycle de sept jours, une place respective attribuée aux animaux et aux hommes, une alliance, une bénédiction et des commandements.

La Tora offre ainsi, par son récit du déluge, une introduction au don de la loi. Elle en explique la nécessité absolue. En effet, ce n’est pas l'arche qui a sauvé Noah du terrible déluge. C’est l’accomplissement rigoureux de l’ordre divin qui sauve Noah et sa famille. Illustrons cela par un exemple : Si Noah s’était volontairement fabriqué une arche de 299 ou 301ou 350 coudées de longueur plutôt que 300 dicté par D., il n’aurait pas survécu dans l’arche. C'est uniquement parce qu'il accepte d'appliquer la volonté divine qu'il est sauvé. Le texte insiste particulièrement à ce sujet :

וַיַּ֖עַשׂ נֹ֑חַ כְּכֹ֥ל אֲשֶׁר־צִוָּ֖הוּ יְ-ה-וָֽ-ה׃

"Noé exécuta tout ce que l’Éternel lui avait ordonné."

Dans un monde de corruption et de confusion, qui ne connaît aucune règle, Hashem apporte des mitzvot, des lois, des règles qui mettent en ordre le Monde que l'Humanité a déréglé au nom d'une liberté égoïste. De même, le nombre précis de jours de pluie ainsi que les autres périodes du déluge mettent en évidence que, comme pour la création du monde, l’Univers possède des lois naturelles et que les ordres d’Hashem dans la Tora sont en parfaite harmonie avec les lois de la nature. Le déluge ne sert donc pas seulement à détruire le Monde corrompu il remet en ordre, le programme à nouveau.

Passons à présent au deuxième grand épisode de la Sidra. Quelques générations après le déluge, les hommes quittent les montagnes de l'Orient et habitent la plaine de Shin'ar. Ils décident d'y fonder une ville et de construire une tour jusqu'au ciel. Ils disent :

"Faisons-nous un nom pour ne pas nous disperser sur toute la terre."

Mais l'Eternel décide de confondre leur langage et les hommes se dispersent sur toute la Terre. La ville est appelée Babel / confusion. Cette histoire semble s'opposer à la précédente, celle du déluge. Cette fois, chacun connaît et accepte sa place dans l'ensemble. Chacun est une brique utile à la constitution du groupe. La Tour représente d'ailleurs cette unité de l'Humanité. Mais, l'Eternel sème le trouble, c'est lui qui amène la confusion dans une humanité si bien réglée.

Mais la réaction de Dieu n'est pas une punition. Elle constitue une épreuve. Possédant tous la même langue et, ne parlant que des mêmes choses, les humains parviennent à s'unir et s’engagent dans un projet commun. Sauront-ils préserver la paix et l'unité malgré les différences ? Le Bien du groupe saura-t-il s'accorder avec celui si divisé des particuliers ? Dieu ne détruit pas la ville. Il confond uniquement les langages.

"Et ils renoncèrent à bâtir la ville."

Malheureusement, en construisant la Tour, les hommes en sont réduits à n'être que des briques ; toutes utiles, il est vrai, mais toutes semblables. Et si l'une ne possède pas exactement la forme voulue, elle dérange et doit être éliminée.

Dans un premier récit, la Tora nous a enseigné qu'un Monde de totale liberté individuelle, sans règles, est voué à la destruction. Dans le second récit, la Tora décrit un Monde ou absolument tout, cette fois, est programmé pour le bien de la collectivité. Dans une telle société la liberté de l'individu n'existe plus. « Une seule langue et les mêmes paroles » pour tous. Cette union fait sa force mais au détriment de la particularité de chaque être, créé à l'image de D..

Entre ces deux récits D. scelle une alliance avec l’humanité en décidant de ne plus la détruire et en demandant aux humains de respecter certaines règles fondamentales. Le signe de cette alliance est l’arc en ciel. Certains commentateurs expliquent ce signe par le phénomène physique à l’origine de l’arc en ciel : la diffraction de la lumière. La lumière du soleil est une lumière blanche. Quand elle traverse les gouttelettes de pluie, elle se sépare en plusieurs lumières de couleurs différentes ; ce sont toutes ces lumières assemblées qui forment la lumière blanche.

Or dans la suite des versets, la Thora nous présente les 70 nations de l’humanité lesquelles descendent de 3 frères, fils d’un même père. Chaque être humain est une lumière différente, indispensable à l'harmonie de l’humanité, comme chaque lumière est nécessaire à la lumière blanche. Faire disparaitre l'autre pour son propre profit, ou au nom de la collectivité, revient à détériorer l'ensemble de la Création.

Avant le déluge

L’histoire de Noé et de son arche est bien connue. L’Humanité s’étant trop corrompue, Dieu décide d’envoyer le déluge. Noé, seul homme juste de sa génération, est sauvé avec sa famille et des représentants de toutes les espèces animales.

Le midrash voit dans la construction de l’arche un but pédagogique et raconte son histoire de la façon suivante :

Noé plantait des cèdres. On lui disait : « A quoi serviront-ils ? » et il répondait : « Le Saint, béni soit-Il, veut envoyer le déluge et m’a demandé de construire une arche pour m’épargner moi et ma famille. » Les gens se moquaient alors de lui. Il arrosait ses cèdres et ils poussaient. On lui disait : « Qu’est-ce que tu fais ? » et il répondait de la même manière. Les gens se moquaient encore de lui. Vers la fin de sa vie, il coupait ses arbres, fabriquait des planches et les assemblait. On lui disait : « Qu’est-ce que tu fais ? » et il leur répétait la même chose et les prévenait. N’étant finalement pas revenu à Dieu, le déluge est venu.

L’arche a effectivement servi à sauver Noé et sa famille. Mais, selon ce midrash, telle n’était pourtant pas son utilité première. Elle devait servir à éveiller la curiosité des gens et les alarmer sur la situation. Mais le fou est celui qui ne fait pas comme les autres. L’insensé est celui qui affirme qu’aucune société n’est invincible, super-puissante, celui qui décèle des abîmes masqués par les progrès de la civilisation. L’imbécile est celui qui affirme qu’une idéologie au nom de l’homme, l’est peut-être qu’au nom de certains hommes et peut l’être au détriment de toute l’humanité. Fou, insensé, imbécile, jusqu’au jour où, …

vendredi 16 octobre 2009

La branche d’olivier

Le déluge s’est arrêté. Noé est encore dans l’arche et envoie un corbeau puis une colombe pour savoir si la terre s’est asséchée. Après son deuxième départ, la colombe revient avec une branche d’olivier. Ne pouvait-elle pas rapporter les feuilles d’un arbre moins amer ?

Il est vrai, cette branche représente le nouveau monde, l’espoir qui renaît, la paix après la tourmente. Mais, lui associer les notions de douceur et de richesse reviendrait à se cacher de quelle tragédie ce calme universel est la conséquence. Le Monde nouveau se crée par des êtres armés d’une ferme volonté de revivre et dont l’espérance est merveilleuse mais leur conscience est toujours blessée par une amère mémoire. Ils sont pleins de l’humilité d’une humanité qui a sombré dans l’horreur.

Dans cette image les Sages voient un autre symbole encore. Depuis que la colombe est entrée dans l’arche, cette branche est la première qu’elle cueille elle-même et qui ne lui est pas donnée par Noé.

« La colombe dit : Que ma nourriture soit amère comme les feuilles d’olivier de la main de Dieu plutôt que douces comme le miel de la main de l’humain. »

Il ne faut pas comprendre que la liberté se paie toujours au prix de l’amertume. Mais l’abondance et le confort n’apportent pas nécessairement la liberté. La liberté s’acquiert à condition de constituer un but à atteindre au moyen de la prospérité mais parfois à ce prix.

(Réaction inverse de la femme de Lot)

La tour de la paix

Après le déluge, les hommes habitent la Terre de Shin'ar. Dans cette plaine, ils décident de fonder une ville et de construire une tour jusqu'au ciel. Ils disent :

"Faisons-nous un nom pour ne pas nous disperser sur toute la terre."

L'Eternel "descend" alors pour voir ce que les fils de l'humain bâtissent :

"Voici, un seul peuple et une seule langue pour tous et cela leur a permis de commencer à faire. Alors maintenant tout ce qu'ils ont projetté de faire ne sera-t-il pas arrêter devant eux ?"

L'Eternel décide donc de confondre leur langage et les hommes se dispersent sur toute la Terre. La ville est appelée Babel / confusion.

La volonté de cette génération à "se faire un nom" est considérée comme un rejet de Dieu. Elle fabrique les premières briques et se soustrait ainsi à la nécessité de retirer de la roche les pierres nécessaires à la construction. Ce progrès technique génère une plus grande liberté. Cette génération est confiante en l'humain, maître de la nature. L'unité du genre humain est d'ailleur son idéal. L'union fait sa force.

En comparant la conséquence des actes de cette génération à celles de la génération du déluge, le Midrash s'interroge. La génération du déluge ne porte pas atteinte à l'existence de Dieu et est pourtant anéantie. Pourquoi sa sanction est-elle plus sévère que celle de la génération de la Tour de Babel ? Rashy, répond que les hommes du déluge sont des voleurs et se querellent les uns les autres ; ceux de la tour de Babel pratiquent l'amour et la fraternité.

"Tu apprends de là combien la division entre les hommes est haïe de Dieu, et combien grande est la paix."

Or, précisément, si l'Eternel aime la paix pourquoi sème-t-il le trouble à l'intérieur d'une humanité si unie ?

La réaction de Dieu n'est pas une punition. Elle constitue une épreuve. Possédant tous la même langue et ,ne parlant que des mêmes choses, les humains parviennent à s'unir et sengagent dans un projet commun. Sauront-ils préserver la paix et l'unité malgré les différences ? Le Bien du groupe saura-t-il s'accorder avec celui si divisé des particuliers ?

Dieu ne détruit pas la ville. Il confond uniquement les langages.

"Et ils renoncèrent à bâtir la ville."

Noah par Rina et Ariel et REBIBO

סדרת נח

Sujets de la sidra Noah

Le maboul

Noah et les fautes de sa génération

Annonce par hashem de la destruction de la Terre

Ordre d'Hashem à Noah de construire la téva : matières, structure et mesures de la téva, occupants

Ordre d'Hashem à Noah d'entrer dans la téva,

7 jours après la pluie tombe pendant 40 jours et 40 nuits

150 jours avant la descente des eaux

Descente des eaux : La Téva se pose sur les Monts Ararat, les premiers sommets des montagnes apparaissent.

Après 40 jours Noah envoie le corbeau qui tourne autour de la téva jusqu'à l'assèchement de la Terre.

Noah envoie la colombe à trois reprises qui ne revient plus

Ordre d'Hashem à Noah de sortir de la Téva

Sacrifices et réaction d'Hashem

Bénédiction d'Hashem à l'humain et commandements

Alliance d'Hashem avec les êtres vivants avec pour signe l'arc en ciel.

Ivresse de Noah, malédiction de Kéna'an et bénédictions de Shem et Yéphet.

La séparation des descendants de Noah et leurs lieux d'habitation

Descendants de Yephet, Ham et en particulier de Kéna'an, descendants de Shem .

Tour de Babel et dispersion des peuples

De Noah à Avraham

Lignée des 10 générations de Noah à Avraham

Histoire de Terah et des ses 3 fils

Questions sur la sidra

  1. Quelle faute, en particulier, a entraîné le maboul?

  2. Comment Noah devait il construire la téva?

  3. Que devait-il faire entrer dans la téva?

  4. Quels sont les mots d'hachem à Noah afin qu'il rentre dans la téva puis qu'il sorte de la téva ?

  5. Combien de temps la pluie est-elle tombée ?

  6. Combien de temps le maboul a t-il duré (pluie, montée des eaux, descente, assèchement de la terre) ?

  7. Durant le maboul, le Monde était dans un état ressemblant au début de la Création. A quelle jour précisément ?

  8. Qu'a fait Noah pour savoir s'il pouvait sortir de la téva ? Qu'a-t-il attendu ?

  9. Qu'est-ce que Noah a fait en sortant de la téva?

  10. Que constate hashem, au sujet de l'humain après le maboul ?Quelle décision prend t-il alors ? Compare avec la fin de la sidra Béreshit.

  11. Que décide hachem au sujet de la nature ?

  12. Quelle bénédiction hashem donne à Noah àprès le maboul ?

  13. Quelle restriction hashem donne à l'humain concernant la consommation de viande animale ?

  14. Après le maboul quelle alliance hashem conclue avec les êtres vivants?, quel est le signe de l'alliance ?

  15. Quel est le métier de noah? Comme qui avant lui?

  16. Qu'a planté noah? Quelle en est la conséquence?

  17. Qui a été maudit?

  18. Pourquoi Shem et Yephet ont-ils été béni? Quelle sont leurs bénédictions ?

  19. Sachant que Noah est mort à 950 ans combien de temps a t-il vécu après le maboul ?

  20. Combien de générations après noah a eu lieu l'histoire de bavel ?

  21. Comment la Torah caractérise la génération de la tour de bavel avant la faute ?

  22. Pourquoi cette génération a t-elle voulu construire une tour et une ville ?

  23. Quelle a été la punition de cette génération ?

  24. Pourquoi cette région a t-elle été appelé bavel ?

  25. Qui est Peleg ? Pourquoi a-t-il été nommé ainsi ?

  26. Combien de générations séparent Noah d'Avraham ?

  27. Qui, logiquement, devrait poursuivre la lignée 1. Adam, 2. Shet, ..., 10. Noah, 11. Shem, ..., 13. 'Ever, ... 19. Terah, ????, ????

  28. Observe la carte suivante. Que peux-tu dire du chemin d'Avraham ?

Questions de réflexion

Plusieurs questions sont traitées dans l'article suivant : "Ni Maboul, ni Babel !"

  1. Pourquoi fallait-il une téva pour sauver Noah et sa famille ?

  2. Pourquoi La Tora donne-t-elle autant de détails sur la construction de la téva (nombres d'animaux purs et impurs, matières, compartiments, mesures) et sur le maboul (nombres de jours de pluie, d'inondation, hauteur au dessus des montagnes, nombre de jours de descente des eaux, dates) alors qu'elle raconte en peu de versets la destruction de toute l'humanité.

  3. Que représente la branche d'olivier ?

  4. Pourquoi avoir choisi l'arc-en-ciel comme signe d'alliance ?

  5. Comment Noah, l'homme juste, intègre, a-t-il pu s'enivrer et se comporter comme il l'a fait ?

  6. Quel a été le mal des hommes qui ont voulu construire une tour pour rester unis ?

  7. Pourquoi la Tora commence-t-elle par des récits de fautes ?

  8. Comparer la génération du déluge et celle de la Tour de Babel.

  9. Compare les deux généalogies de la sidrat Noah. Que nous apprennent-elles ?

  10. Quelle place prend Avram à la suite de Noah ?

Pour un monde meilleur

Dans la Bible, la genèse de l’humanité est jalonnée de fautes. Adam et Eve contreviennent à l’ordre divin de ne pas manger de l’arbre de la connaissance. Leur fils Caïn tue son frère Abel. Quatre générations plus tard Lemekh déclare être lui aussi un assassin. Puis au bout de dix générations l’humanité, s’étant trop corrompue, est détruite par le déluge. Seul Noé et sa famille sont sauvés grâce à l’arche qu’ils se construisent suivant l’ordre de Dieu.

En lisant ces récits, nous pouvons être portés à désespérer en l’humain. Pourtant c’est une idée contraire que veut nous enseigner la Tora. Son message n’est pas transmis à des hommes instinctivement justes et bons, pour un monde parfait. La Tora décrit les hommes, les sociétés et l’Histoire dans leurs réalités. C’est donc “en connaissance de cause” que Dieu impose à l’homme de suivre Ses voies en pratiquant la justice et en recherchant la paix.

Il ressort donc des premiers récits de la Genèse un extraordinaire message d’espoir. Comme Noé chaque femme et chaque homme est capable de désirer le Bien et de trouver la force et le courage de l’accomplir. Aucune société, aucune idéologie ne servent d’excuses à ceux qui choisissent d’appliquer véritablement la justice. Ce sont ces justes qui posent les fondations d’un monde meilleur.

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